Bite me or Kill me
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 Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]

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Sam Crow
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MessageSujet: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeMer 27 Mar - 22:56

Alice & Damon
J
'avait envie de partir quelques jours de Mystic Falls pour essayer de ne plus penser à tout ce qui se passe ici et j'avais décidé d'aller à Seattle, je ne sais pas encore ce que je vais faire mais je m'en fiche complètement temps que je pars d'ici !
Je pris quelle qu'affaire et les clés de ma Chevrolet Camaro et pris la direction de Seattle comme j'avais prévu, je roulais pendant des heures et des heures, quand j'étais enfin arrivé il fessait déjà nuit et la soif de sang commençais à se faire ressentir.
Cette ville est grande et ne manque pas d'humain à tuer, j'avais repéré un Club pas très loin d'ici et décide de faire un tour pour étancher cette soif de sang qui commence à me tirailler le ventre.
J'entre dans ce fameux Club où la musique était à fond et où je voyais déjà comment je pouvais m'amuser.
Je me faufile dans la foule et je repaire ma potentielle proie, je m'approche d'une fille assez mignonne et commence à danse avec elle, elle se colle à moi et se tortille dans tous les sens, je la regarde dans les yeux et lui dit.

-Tu vas être gentil, tu ne vas pas crier tu ne vas rien dire du tout et quand j'aurais fini tu pourras partir, mais tu ne diras rien à personne !

Je lui penche délicatement la tête vers la droite et y plante mes crocs, j'inspirais une grande gorgée de sang, elle avait un gout exquis et la faim qui se fessait ressentir quelques minutes plus tôt était complètement partie, j'aime cette sensation, j'aime se liquide chaud qui coule dans ma gorge et qui me redonne cette force !
J'avais encore envie de sang et la soirée commençait juste, je sans que ce soir je vais prendre du sang à plus d'une femme, bien sûr je ne les tue pas, je m’arrête juste avant la limite, même si les tuer serait beaucoup plus amusant.
Après avoir vidé presque deux jeunes et charmante femme de leur sang un verre de Bourbon ne me ferait pas de mal, je m'approche du bar, et fais signe au serveur de venir et lui demande un verre, qui me rapport pratiquement tout de suite.
Cette soirée commence bien, je pris une gorgée et je sentais une présence de vampire ici mais ne voyait pas ou il ou elle était, je scrutais la salle du regard, mais il y avait tellement de monde ici que je n'arrivais pas à voir qui c'était.
Si le vampire qui était ici avait de l’expérience il serait qu'une autre créature surnaturelle serait ici et il viendrait surement à moi.
Moi j'avais mieux a faire que de le chercher !
Je me rends compte que ce n'était pas un vampire mais une hybride, mon dieu ils vont me suivre jusqu’à ici, je ne peux pas être tranquille seulement une nuit !

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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeVen 29 Mar - 20:45

  • J’étais devant mon lit, seulement vêtue de mes sous-vêtements de dentelle noire et les cheveux libre, à contempler les deux ensembles que Mme Nichols, m’a gouvernante, m’avait choisi. Le choix était complexe. La première tenue consistait en une robe bustier faite uniquement d’un empilement de voilages transparents sous le bandeau de dentelle et feutrine noire de la poitrine et d’une paire d’escarpin Louboutin. Elle était outrageusement sexy. L’autre était l’assortiment d’une chemise noir transparente avec un slim en cuir de la même couleur avec une paire d’escarpin Chanel rouge carmin. Dans les deux cas je savais que je n’allais laisser personne indifférents. Sirotant mon verre de sang, O négatif mon préféré mais aussi le plus rare, je tentais de me décider. Ce soir, je sortais à Seattle dans le but de me trouver un jeune petit humain à mettre dans lit et qui sait, peut-être finirait-il dans mon assiette aussi. Je décidais d’opter pour la robe, ce serait plus facile l’alpaguer un mec avec les hormones en ébullition qui ne poserait pas de questions. Je l’enfilais après avoir posé mon verre à demi plein sur la table de chevet. Je remontais ensuite une paire de bas noir et vintage terriblement sexy le long de mes jambes et pris la paire de Chanel rouge que je chaussais. Je me dirigeais alors vers le grand miroir qui se trouvait au fond de mon dressing et admirais le résultat pendant quelques minutes. Satisfaite, je décidais de m’attaquer à ma chevelure violette. Je la brossais avec soin pendant quelques longs instants ce qui les ondula. J’accentuais l’ondulation afin que cela fasse de magnifique vague très vintage, plaquais un côté avec une jolie pince plate avec un nœud noir et ramenait toute ma chevelure d’un côté. J’adorais avoir cet effet-là. Une fois de plus j’étais satisfaite et je me maquillais. Un simple trait d’eye-liner noir au-dessus de mes cils recourbés et plein de mascara pour un regard de biche, un rouge à lèvre carmin pour accentuer les traits fins et délicats de mes lèvres et un teint de porcelaine pour le côté très pin-up de ma tenue. J’enjolivais mes oreilles d’une paire de pendant noir et ornais mon cou d’un sautoir au bout duquel pendait mon alliance et un petit pendentif renfermant les photos de feu mon mari et feu mon fils. Je savais que ce soir je ne serais pas ce masque de glace que d’habitude j’arborais, non, ce soir je serais une créature sensuelle et animale en chasse. Je passais sur mes épaules un boléro de fourrure noire et gantais mes mains de cuir. J’aimais le contacte et la douceur de la fourrure se ma peau, c’était agréable. Sortant enfin de ma chambre, je pris ma petite pochette, noire également, et me dirigeais vers l’entrée. Je n’avais pas pris le temps de finir mon verre de sang qui m’attendrait, ou pas, sur ma table de chevet. L’heure était déjà avancée mais Edward m’attendait déjà devant la porte.

    Le trajet me parut une éternité mais bien vite je me retrouvais à descendre de mon audi devant le Velvet Club. Il n’était pas rare de me voir attablée au coin VIP, c’était un de mes terrains de chasse favoris. Et puis, vu les pourboires que je laissais chaque fois que je venais, j’étais souvent attendue comme le messi. Edward m’ouvrit la portière avec beaucoup de professionnalisme et je m’extirpais avec grâce de l’habitacle, comme d’habitude en somme. Une fois la chose faite, je m’approchais de l’entrée où les videurs ne réfléchirent même pas et me laissèrent entrés avec des salutations pleines d’admiration. Ah, s’ils savaient ces pauvres fous, c’est vrai que j’étais riche à million avec mon cabinet d’avocat de réputation internationale puisque je représentais plusieurs énormes PDG et entreprises des Etats-Unis et même d’autres pays plus lointains. Du moins, mon cabinet les représentait, pas moi en personne, après tout je suis censée vieillir … mais nous avions trouvé un arrangement. Bref, je laissais mes affaires dans un vestiaire réservé à mon nom et entrais dans l’arène. Il y avait foule ce soir, ce ne serait pas bien difficile. Je souris contente de voir la flopée de jeune mâle en recherche d’une conquête d’un soir ou plus. Je ne me dirigeais pas vers la piste de danse comme l’aurais fait n’importe qu’elle femme mais bien vers le bar. Je choisir le bout du bar le plus loin de la piste afin d’être repérée le plus rapidement possible par un jeune et bel homme enclin en la discussion ou plus. Je commandais un whisky on the rocks, un Mortlach de 1936 à 4499€ la bouteille, une bouteille qui m’était personnelle et réservée. Je l’avais faite venir d’Irlande ici pour les soirs où je venais. Un jeune homme s’approcha de moi mais je dus avouer que j’avais quand même un minimum de standing physique à respecter. Je le congédiais sans ménagement et me mis à observer les différents partis, plus ou moins intéressant, quand tout à coup j’en vis un. Celui-ci, était viril à souhait, élancé mais musclé et avait un charme fou. Je l’observais un temps et je le vis venir vers moi d’un pas assuré. Le seigneur n’avait pas pitié de lui ce soir. Il avait un regard émeraude et brulant et un sourire …. Ravageur. Je vis les jeunes femmes me jalouser quand elles se rendirent compte que c’était moi qui l’intéressais. Et oui, j’ai quelque chose que vous n’aurais jamais ou presque. Je fis semblant de pas m’y intéresser lorsqu’il m’aborda. Il me demanda de le rejoindre à sa table et je ne me fis pas priée. Elle était à l’autre bout du club dans un coin plutôt sombre. Je savais pourquoi il avait dû choisir cette table. Son emplacement était un emplacement parfait pour jouer avec des demoiselles que ce soit un jeu de séduction ou bien plus poussé que de la simple séduction dans le cas où il serait un peu plus pervers. Cette idée me réjouit subitement car en plus de pouvoir m’amuser je pourrais le mordre avec plaisir. Je m’installais à ses côtés et nous fîmes les présentations avec le reste de ses comparses. Merde, j’aurais préféré qu’il soit seul. Sa main se baladait négligemment sur ma cuisse et je le laissais faire. Il pouvait aller aussi qu’il voulait je n’allais pas broncher… puisque dans tous les cas il finirait par se prendre un mur. Il ne savait pas qui j’étais. Ses comparses partirent danser et je profitais de cet instant. Ne lui laissant aucunes échappatoires je grimpais à califourchon sur ses gambes et le coinçais entre mes cuisses. Je sentais bien que je ne le laissais pas de marbre et cela m’amuse.


    -Tu n’as pas de chance mon biquet, t’es tombé sur ta malchance incarnée. Tu ne vas rien dire, tu vas te taire et étouffer t’es gémissement de douleur. Ca va faire un tout petit peu mal mais bon tu vas voir tu vas adorer et peut être après, s’il te reste assez d’énergie on ira faire un petit tour. Tu me montreras alors au combien tu peux être un homme viril. En attendant, tu vas simuler du plaisir, d’accord bébé ?

    Il hocha la tête un peu apeuré et je ne descendais jusque dans son cou où je le mordais. Il eut un soubresaut qui passa inaperçu grâce à la pression de mon corps sur le sien. Je buvais avec délectation son sang, cela me permettrait d’éviter d’égorger tout ce qui bougerait un peu plus tard. J’avalais quelques gorgées puis je léchais son cou afin d’effacer les traces de son sang. Je retirais ce qu’il restait sur mes lèvres et vint poser mes lèvres sur la marque de ma morsure à la base de son cou. Le col de sa chemise cacherait mes crocs et je le regardais. Il était terrifié mais savait qu’il n’avait aucunes chances.

    -C’est bien tu as été un brave garçon. Tu as bon goût tu sais, très bon. Ne t’en fais pas, tu vas vite te remettre.
    -Je … Je pourrais faire ce… ce que tu as dis.
    -Me montrer que tu es un homme viril au détour de la banquette arrière de mon audi ? Non !

    Je lui fis un grand sourire sadique et le laissais seul en proie avec sa frustration. La frustration… quelque chose que j’adorais. Je m’écartais de la table avec douceur et remontais le long de la petite allée qui séparait les tables et la piste de dance. C’est alors que je sentis cette odeur familière. Il y avait un vampire dans les parages. Merde. Merde. Merde. Je m’arrêtais net et commençais à regarder autour de moi. Pourvus que ce ne soit pas l’autre fou, mon créateur, Klaus. Tous mes muscles se bandèrent, j’étais en état d’alerte maximale. J’humais l’air de manière subtile et cela m’appris que le vampire n’était pas bien loin. J’observais autour de moi encore quelques instants quand je le repérais. Il était seul au bar, un verre de bourbon dans les doigts. Et merde, un Salvatore. Qu’est-ce qu’il foutait là lui ? Je ne le connaissais pas personnellement mais je savais qui il était. C’était après tout un des fondateurs de Mystic Falls. J’étais partagée entre l’envie de retourner me terrer au fin fond de mon manoir dans la forêt ou m’approcher. Mais j’étais curieuse et ce depuis toujours. Je décidais donc de me diriger vers lui. J’étais féline, animale, magnétique. Les hommes me lançaient des regards pleins d’espoirs sur mon passage mais je restais concentrée sur le Salvatore. Lequel était-ce ? C’était quoi leur nom déjà ? Et merde. Le bar se rapprochait fort dangereusement et très vite je me trouvais à ses côtés. Je fis comme si de rien était et commandais un verre de mon whisky fétiche.

    -Du bourbon ? A la vôtre Salvatore.

    Joignant le geste à la parole je bus cul sec mon verre d’alcool et le reposais sur le comptoir. Le gout de l’alcool mélangé à celui du sang de ma précédente proie était un délice. Sans demander quoi que ce soit je m’installais, le dos au bar, à côté du vampire et en faisant semblant de ne pas l’observer je regardais en direction de la piste de danse.

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Sam Crow
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeVen 29 Mar - 23:32

Alice & Damon
T
oujours avec mon fidèle verre de Bourbon a la main je scrutais la piste du regard, j'avais toujours cette soif de sang et temps mieux ici il y en avait à volonté, pour une fois ça va me changer de cette petite ville de Mystic Falls ou le sang n'y est pas très souvent présent, il faudrait presque se contenter de poche de sang !
C'est poche ne sont pas aussi délicieuse que le sang sorti d'une veine d'un petit humain sans défense, en plus c’est tellement réjouissant de pouvoir planter c'est croc dans cette chair si douce !
J'étais vêtu d'une chemise noire et d'un pantalon de même couleur, les cheveux en bataille tout ce que les femmes aiment !

Je posais mon verre de Bourbon sur le bar et me dirige vers la piste de danse ou j'avais repéré une jeune femme blonde avec les cheveux raides, un corps parfait et elle était vêtue avec des affaires presque provocantes.
Quand j'étais enfin près d'elle, quelque centimètre nous séparait, je regardais son cou et entendais son coeur et son sang circuler, que c'est bon d'entendre ça !
Je l'avais hypnotisé comme j'avais fait tout a leur avec les deux autres et y avait planté mes crocs, comment les vampires qui boit du sang animal peuvent passer à côté de ce moment si envoûtant ?
Peut un porte des autres vampires aujourd'hui c'est ma soirée et je ne contais pas la gâcher en pensant à d'autres petits vampires minables !
Je retire enfin mes crocs de son cou et replace ces cheveux par-dessus pour éviter de voir la morsure puis lui dit d'aller jouer avec les autres.
J'essuyais le sang qui était sur ma couche d'in revers de la main avant de rejoindre le bar pour finir mon verre qui était encore posé sur le comptoir.

Quelle que minute après une jeune femme qui était en robe noire, qui d'ailleurs était très sexy s'approche de moi et commande un Whisky.
C'est elle alors l'hybride, je la regardais plus en détail et voyais qu'elle avait vraiment un style qui ne se voit pas tous les jours, j'aime les femmes qui ne ressemblent pas aux autres !

-Du bourbon ? A la vôtre Salvatore.

Elle me connaissait mais qui c'était elle ?
Pendant quelle que seconde de réflexion je savais qui était cette femme, c'était celle qui habitait le manoir enfoncer dans les bois et que presque personne n'avait vue, elle est très mystérieuse, j'aime aussi !

-À la vôtre. Vous êtes la femme dans le manoir, on ne vous voit jamais donc à qui ai-je l’honneur ?

Elle était adossée au comptoir et regardait la piste de danse tout comme moi, elle était surement venu ici pour la même raison que moi et ce n'était pas la première fois qu'elle venait ici vue la marque de Whisky que le serveur lui avait donnée il ne venait surement pas d'ici, c'est beaucoup trop cher.

-Vous êtes surement venu ici pour étancher cette soif tout comme moi, sinon je ne vois pas ce qu'une femme comme vous faites ici !

Je pris la dernière gorgée de mon verre et me retourne pour demander au serveur un autre verre, il s'approche de moi prend la bouteille et me sert le liquide, je reprends mon verre et me remets comme tout ta leur et attend la réponse qui se faisait attendre de la jeune femme à côté de moi.
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Dernière édition par Damon Salvatore le Mar 2 Avr - 1:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeDim 31 Mar - 1:32

  • -À la vôtre. Vous êtes la femme dans le manoir, on ne vous voit jamais donc à qui ai-je l’honneur ?

    Femme mystérieuse. Et oui l’énorme manoir blanc au beau milieu des arbres était le mien. Je plaquais mes cheveux d’un geste élégant de la main et replaçais ensuite la pince plate afin de garder une coiffure parfaire. C’était un beau vampire. Vulnérable mais un beau vampire. Je tournais enfin mon visage vers lui et le détaillais du regard non sans me cacher. Il avait des cheveux mi long sur le dessus et plus court sur les côtés, très stylée. Il ne faisait pas son âge. Son visage avait des traits fins et bien dessinés. Il restait néanmoins très viril. J’humectais mes lèvres du bout de la langue et retournais à ma contemplation de la piste de danse.

    -La femme au manoir… Il y a certaines raisons qui me poussent à peu sortir de chez moi auxquelles je n’ai guère envie de penser ce soir mais c’est fort agréable de votre part de me le faire remarquer. Vous êtes un des fondateurs de notre misérable patelin et vous ne savez pas qui je suis ? En voilà, une blague qui est drôle… Enfin soit, Mme Alice Judicaëlle Nausicaa Weil mais Mme Weil me suffira, Salvatore.

    Je suintais l’arrogance de tous les pores de ma peau. Ça m’amusait fortement le fais qu’il ne sache pas qui je suis et d’un autre côté ça m’avait arrangé jusqu’à présent. Je préférais que peu de gens connaisse mon identité, cela me permettrait de rester dissimulée aux yeux de Klaus encore quelques temps.

    -Vous êtes surement venu ici pour étancher cette soif tout comme moi, sinon je ne vois pas ce qu'une femme comme vous faites ici !
    -J’ai d’autres appétits à assouvir quand je ne chasse pas et non, il n’est pas rare de me croiser ici. Par contre … vous, c’est plutôt étonnant. Il est vrai que le Velvet Club regorge de ressources intéressantes mais je pensais que vous aviez ce dont vous avez besoin à Mystic Falls…


    Et vlan prend toi ça dans les dents Salvatore. J’avais en horreur les originels et j’avoue que ma voix trahissait une méchanceté dont je ne pensais pas être capable ce soir. Cela m’étonnait. Je reportais mon attention sur la piste de dance où les corps se mouvaient au rythme des basses et des infrabasses. La musique était entêtante et je voyais au combien certains esprits n’habitaient plus les corps de leurs propriétaires. Cela me fit esquisser un sourire, un joli sourire, tout simple. Tout à coup le DJ décida de changer de style et ma chanson favorite commença à emplir l’air de ses notes. La voix de M.I.A sur « Bad Girls » commença à caresser mes oreilles et j’eus de suite envie de me joindre aux corps fébriles qui se trémoussaient sur la piste de dance. Je jetais un regard au vampire âgé d’un millénaire et me levais. Je lissais légèrement ma robe et partis en direction de la piste. Je me mouvais à travers les corps avec un aisance magistrale et rejoignais le centre où je commençais à bouger au rythme lascif de la musique. « Live Fast , Die Young , Bad Girls , Do it well … ». Je bougeais avec aisance, grâce et sensualité. Je sentis une main glisser sur ma hanche puis un bras m’enserrer la taille. Puis un corps se pressa contre le mien et je ne cherchais pas à savoir qui cela pouvait bien être. Je continuais de me laisser aller au rythme de la somptueuse voix de M.I.A. Je décidais de me tourner et je me retrouvais devant un apollon sensuel et viril. Ah c’était un vrai beau spécimen. A côté de lui, je paraissais toute petite et toute frêle même on savait tous que ce n’était pas vrai. Il était à tomber par terre, à damner ou même à se prosterner devant dieu pour le remercier de l’avoir mis sur ma route. Celui là, pour rien au monde ne lui sucerais le sang, oh non, celui-ci serait mon toyboy pour la nuit. Doucement et plus aguicheusement, je dansais auprès de lui tout en lui susurrant des mots qui je le savais le ferait patienté jusqu’au bout de la nuit. La chanson prit fin au même titre que pour mon intérêt pour la danse. Le bellâtre resta sur la piste attendant, patient, que je lui fasse signe de partir avec moi pour finir la nuit en apothéose. Je retournais auprès du bar et de son, non moins séduisant, originel qui semblait ne pas avoir bouger d’un poil.

    -Un autre Clay’ !
    -Tout de suite Madame Weil !
    -Vous allez rester scotché à votre siège, Salvatore ? Je suis sûre qu’il y quelque part par là une midinette qui saura vous satisfaire …

    Clay’, le serveur, me brandit mon verre de whisky hors de prix habituel avec juste un fond de glace pillée. Je lui laissais un pourboire scandaleux qu’il s’empressa de fourrer dans la poche arrière de son jean noir et je reportais mon attention sur le vampire.

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Sam Crow
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeDim 31 Mar - 14:12

Alice & Damon
C
'était hallucinant le nombre de personnes qui pouvaient s’entasser dans un si petit truc, heureusement sa ne ma jamais intéressé, enfin si juste pour pouvoir m’abreuver de sang !

-La femme au manoir… Il y a certaines raisons qui me poussent à peu sortir de chez moi auxquelles je n’ai guère envie de penser ce soir mais c’est fort agréable de votre part de me le faire remarquer. Vous êtes un des fondateurs de notre misérable patelin et vous ne savez pas qui je suis ? En voilà, une blague qui est drôle… Enfin soit, Mme Alice Judicaëlle Nausicaa Weil mais Mme Weil me suffira, Salvatore.

-Je suis peut-être un fondateur de notre misérable ville comme vous dites mais je me fous royalement du poste que j'occupe et moins je connais de monde mieux je me porte !

Tu as peut-être voulu me mètre ce que tu viens de me dire dans les dents Madame Weil mais c'est rater !
Elle était partie sur la piste de danse et elle avait une façon de bouger qui attirait l'attention, d'ailleurs un homme c'était approcher d'aller et commençait à la toucher la prendre par la tailler et bouger au même rythme qu'elle, elle est vraiment bien foutue comme filles.
Une femme très sexy s'approche vers moi et commence elle aussi à se tortiller dans tous les sens devant moi.
Je l'approche violemment vers moi pour qu'elle vienne se coller tout contre mon torse et commence à l’entraîner dans une danse.
Elle passe sa main dans ma chemise pour me caresser le torse ce qui me fit décrocher un sourire en coin Je lui pris les fesses et la rapproche un peu plus vers moi.
Je fis remonter une main le long de son dos jusqu’à sa tête, que je penche vers la droite avant de mettre mes crocs dans sa jugulaire et prends quelle que gorge de sang avant de me retirer puis de les replanter au niveau de ses seins, je m'amusais avec elle et j'adorais ça !
Quand j'avais enfin terminé avec elle je lui referme sa veste et lui dit de partir.

-Vous allez rester scotché à votre siège, Salvatore ? Je suis sûre qu’il y quelque part par là une midinette qui saura vous satisfaire …

Je lui adresse un sourire en coin avant de lui dire.

-Vous savez je n'ai peut-être pas envie d'une humaine !Je pris une gorger de mon verre avant de reprendre Aujourd'hui j'ai envie de m'amuser pas vous .

Je ne sais pas si elle allait le prendre mal ou pas mais j'en ai rien à faire mais alors rien à faire si elle n'est pas contente elle connaît le chemin je n'ai pas à lui expliquer !
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeLun 1 Avr - 1:14

  • -Vous savez je n'ai peut-être pas envie d'une humaine !

    Il n’avait pas envie d’une humaine, ah oui ? J’arquais un sourcil amusé et l’observais boire une gorgée de sa boisson. Je fis de même du bout des lèvres et il ajouta :

    -Aujourd'hui j'ai envie de m'amuser pas vous ?

    Je ne pus m’empêcher de rire à cette phrase. Mon rire était mélodieux et cristallin. C’était un jolie son qui sortait de ma bouche pas comme certains rires gutturaux qui nous faisait passé l’envie de rire à notre tours ou, au contraire, nous faisait rire de plus belle. J’observais Damon et tentais désespérément de reprendre mon sérieux.

    -Est-ce une proposition ? Si c’est le cas, je suis dans l’obligation de vous dire la vérité. Bien que vous soyez assurément un très bel homme, il serait dangereux que nous jouions ensemble et je ne suis pas sûre que vous soyez à mon goût. Après tout je ne peux vous goûter…

    Je souris avec douceur, une douceur infinie, pour tenter de faire passer la pilule un peu plus facilement. Bon, je doutais fortement que ça lui plaise, il ne devait pas avoir l’habitude de se faire rembarrer et encore moins. Me sentant mal à l’aise, j’avalais goulument mon verre de whisky et reposais le gobelet de cristal sur le comptoir. Je me retournais vers le dancefloor enflammé. La musique restait entêtante et j’observais la cohue de corps suants à la recherche de ma proie patiente. C’était son moment … Je jetais un dernier coup d’œil à Damon et parti en direction de mon petit homo sapiens que j’avais repéré près des baffles. Je marchais avec aisance, comme si je glissais sur les dalles, fluide et animale, sensuelle et magnétique. J’évitais les corps avec beaucoup de dextérité. On voyait que j’étais habituée à ce genre de situation, mes longues parties de chasse en forêt étaient de bons entrainements. Je traversais la foule et bien vite je me retrouvais aux côtés de mon bellâtre qui bavardait avec ses amis. Je n’eus pas grand-chose à faire puisque dès que ses yeux s’eurent posé sur moi, il délaissa sa conversation pour me venir m’enserrer dans ses bras d’un air de dire « elle est à moi , chasse gardée ». Je ne l’avais pas hypnotisé celui-là et c’était pourtant tout comme. Je le fis tout de même me lâché et je lui chuchotais quelques choses à l’oreille. Il agrippa ma main et m’entraina vers le patio dehors réservé aux fumeurs. C’était un lieu à l’air libre avec pas mal de recoin mais pas à l’abri des regards de la sécurité. Il me laissa dans un coin et parla quelques instants avec un des mecs de la sécurité qui semblait plutôt bien le connaitre. Je compris alors qu’il s’était assuré que l’on ne nous dérangerait pas. Il revint vers mois sûr de lui.

    -A nous deux, jolie inconnue.


    Sa voix était pleine de promesse salasse et cela me fit sourire. J’allais, je le sentais, bien aimé jouer les humaines normales. Doucement, il m’attrapa par les fesses et de ses hanches me poussa contre le mur non loin de moi. Il les malaxa de ses mains et vint m’embrasser dans le coup avec une avidité non dissimulée. C’était tellement rare que je me retrouve dans cette position que j’eus envie d’en rire mais je me retins. Il continua de malaxer mes fesses à travers le tissus de ma robe puis l’une de ses mains, la droite, vint remonter les voilages sur ma cuisse jusqu’au haut de mon bas noir. Il caressa ma cuisse sensuellement dans le but de m’exciter. Il voulait jouer. Tant mieux moi aussi. Sa main gauche remonta jusqu’à mon sein gauche qu’il empoigna avec douceur. La main sur ma cuisse remonta encore sous le tissu de ma robe jusqu’à ma fesse et ses lèvres vinrent sur les miennes. Puis tout à coup une odeur familière vint chatouiller mes narines : Damon. Qu’est-ce qu’il foutait là lui ? J’usais alors de ma force pour plaquer l’homme contre le mur et le lâchais pour me tourner vers le vampire qui était assis nonchalamment sur une chaise près de nous.

    -Ca va le spectacle vous plait monsieur le voyeur ?


    Mon gorille voulut aller vers lui pour lui faire comprendre les choses mais un seul de mes regards lui suffit pour se résigner à rester clouer contre le mur et à ne pas bouger. Pas bouger, brave bête. Je me tournais alors complètement vers Damon et me dirigeait vers lui avec une félinité et une séduction nouvelle dans ma démarche. Je pris appuis sur les accoudoirs de la chaise et me penchais au-dessus de lui. Mon dieu que j’étais outrageusement sexy en cet instant. S’il le voulait il pouvait aisément me dominer en cet instant.

    -Le spectacle te plait Damon ?

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Sam Crow
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeLun 1 Avr - 16:32

Alice & Damon
E
lle avait un rire qui me fit décrocher un sourire, pour une fois que j'arrivais à faire rire une personne et ne pas me faire insulter de cons ou autres on va en profiter.

-Est-ce une proposition ? Si c’est le cas, je suis dans l’obligation de vous dire la vérité. Bien que vous soyez assurément un très bel homme, il serait dangereux que nous jouions ensemble et je ne suis pas sûre que vous soyez à mon goût. Après tout je ne peux vous goûter…

Je souris et regardais ailleurs puis reviens planter mon regard dans le sien

-Dangereux, j'aime le danger ça ne me fait pas peur !
Et puis vous pouvez me goûter autrement !


Je lui fis un sourire presque moqueur.
Elle était repartie sur la piste de danse retrouver ce mec qui était avec sa bande, je l'avais suivi et elle ne m'avais pas vue.
Quand cet humain l'avait vue il l'avait presque pris dans les bras on aurait dit qu'elle était un trophée et qu'il voulait la monter à tout le monde,pathétique !
Elle lui avait dit un truc a l'oreille que je n'avais pas écoutée.
Il partait dans la direction de dehors, mais j'étais sortie avant eux pour éviter qu'il ne me voit et je m'étais assis sur une chaise.
Il était enfin sortie le mec c'était approcher d'elle et commençait a la peloter, c'est moue tout ça, que les humains peuvent être nul en matière de sexe !

Je savais quelle venait de me voir, elle l'avait repoussé violemment et me regarde.

-Ca va le spectacle vous plait monsieur le voyeur ?

-C'est un peu moue, les humains sont nul en matière de sexe !

Le petit humain commençait à s'approcher de moi pour surement essayer de me casser la gueule, mais en un seul coup de croc et il serait mort alors il ne vos mieux pas qu'il s'approche de moi et heureusement elle lui avait jeter un regard noir pour lui dire qu'il ne devait pas faire ça !
Elle c'était approcher de moi avec une telle félinité, elle pose ses mains sur les accoudoirs de la chaise et se penche vers moi.

-Le spectacle te plait Damon ?

Je plongeais mon regard dans ses yeux puis à vitesse vampirique la colle violemment à un mur.

-Le spectacle serait surmenant mieux avec quelqu'un d’expérience!

J'avais mon visage près du sien et je la tenais par la taille, je sentais son souffle sur mon visage.
L'humain derrière nous devais surement nous demander ce qui se passe.

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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeMar 2 Avr - 21:13

  • -Le spectacle serait surmenant mieux avec quelqu'un d’expérience!

    Ses mains sur ma taille étaient un délice dont je n’avais pas envie. Je ne pouvais raisonnablement me permettre de le laisser faire. Apparemment c’était effectivement moi qu’il voulait. C’était avec moi qu’il voulait jouer, s’amuser, passer sa nuit. Mais j’étais un jeu avec lequel il ne pouvait jouer. J’étais bien plus dangereuse que je ne le laissais paraitre et il était hors de question que je laisse faire. Mais son visage près du moins me tentait, m’appelait. C’était un vampire, un être surnaturel comme moi. Avec lui non besoin de prendre des gants, non besoin de faire attention … Le choix était cornélien mais ma décision était prise : il ne m’aurait pas. Je me plaquais contre lui et approchais ma bouche de son oreille.

    -Tu cherche à te faire mordre ? N’as-tu pas envie de vivre Damon ?

    L’arrogance suintait de chacun de mes mots, de chacun de mes pores … Elle coulait dans mes veines, pareille à un poison mortel. Je l’écartais de moi et toujours aussi féline je me rapprochais de mon petit humain qui semblait complètement perdu. Je déposais un main de velours sur sa joue et posais mes lèvres avec une délicatesse infinie puis je descendais dans son cou où je plantais mes crocs sans ménagement. J’allais le tuer mais je ne pouvais le laisser vivre. Il ne mourrait pas ici, il aurait suffisamment d’énergie pour rentrer chez lui. Je m’abreuvais à la base de son cou puis, jugeant que c’était suffisant, je remontais le col de sa chemise sur la blessure qui ne perdait plus de sang.

    -Rentre chez toi. Ne reste pas ici. Tu n’as rien vu, tu es fatigué… C’est ce que tu leur diras à tes amis. Et quand tu seras chez toi tu te feras couler un bain. Maintenant va-t’en.

    Je l’avais hypnotisé. Je savais parfaitement bien ce que j’avais fait à cet humain qui n’était pas sensé mourir ce soir. Je l’avais vidé d’assez de son précieux fluide vie pour que, lorsqu’il serait dans son bain, il s’évanouisse et se noie de façon « accidentelle ». J’avais essayée d’être un peu humaine, d’avoir un peu de compassion pour ce pauvre homme qui n’avait pas mériter ce triste sort. Néanmoins, j’étais une prédatrice et même si ce n’était pas forcément une chose bien ce que j’avais fait, je ne le regrettais pas et préférais m’en féliciter. Je le regardais s’éloigner doucement, fantomatique. Je me retournais enfin vers Damon qui était resté collé nonchalamment au mur et m’observais de son regard de braise. Je m’approchais de lui et sans réfléchir me collais à lui de ton mon long. Je l’embrassais avec fougue puis prenant conscience de ce que je faisais, je reculais subitement et partais m’assoir sur un des fauteuils de terrasse un peu plus loin. Je croisais les jambes sensuellement et passais mes doigts manucurés sur mon front. Des fois je ne me comprenais pas vraiment, je ne comprenais pas mes pulsions qui parfois étaient morbides et d’autres plus sexuelles, plus perverses. Je perdais pied une fois de plus. Ma légendaire obsession du contrôle semblait encore une fois s’évanouir dans la noirceur de la nuit.

    -Tu es décontenançant Salvatore. Vraiment …

    On pouvait entrevoir la fragilité qui se cachait au fond de moi dans ces quelques mots. J’étais souvent perdue ou perturbée par ce qui m’entourait, c’était une des nombreuses raisons qui faisait que je ne sortais que très peu de mon chez moi.

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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeMar 2 Avr - 21:51

Alice & Damon
J
'aime le danger et je n'avais pas peur de jouer avec ce charmant et sexy hybride, je m'étais déjà fait mordre auparavant par un loup et savais exactement ce que ça faisait mais aujourd'hui j'étais prêt à prendre le risque.
J'avais toujours mes mains sur sa taille si fine, son souffle toujours sur mon visage, je la regardais.
Elle plaquait son corps contre le mien et approche sa bouche près de mon oreille.

-Tu cherche à te faire mordre ? N’as-tu pas envie de vivre Damon ?

Je fis un sourire en coin.
Elle s'était décollé de moi pour aller voir son ridicule petit humain qui était apeuré et qui se demandais ce qui se passait, je la suivais du regard et posais mon dos contre le mur.
Elle posait sa main sur sa joue puis ses lèvres sur les siennes avant de descendre sensuellement vers son cou où elle y plante ses crocs, puis elle l’hypnotise pour qu'il parte.
Elle se retourne enfin vers moi puis s'approche pour se coller à moi et m'embrasser, je fis remonter mes mains dans son dos et la serre un peu plus fort contre moi.
Ses lèvres posées sur les miennes étaient tout simplement exquises.
Puis elle se détache de moi violemment pour aller s’asseoir sur un fauteuil de terrasse, elle c'était mis dans une position comme si elle venait de faire une bêtise et j'adorais la voir comme sa un peut perdre elle avait tellement l'air d’être sur d'elle tout ta leur et là je reprenais le dessus.

-Tu es décontenançant Salvatore. Vraiment …

-Je sais !

Je m'approchais d'elle avec mon sourire moqueur puis me penche et délicatement je viens poser mes lèvres sur sa joue tout en redescendent jusqu’à son cou mais tout ça dans une lenteur, pour que le plaisir dur un peu plus.
Je ne savais pas comment elle allait réagir à ce moment-là surtout que deux minutes plus tôt elle c'était pratiquement jeter sur moi et m'avais embrassé avec fougue.
Je l'avais levé et l'avais collé contre le mur qui était derrière nous, toujours en l'embrassant dans le cou je mis ma main en dessous de sa robe sur sa hanche et remontais doucement, et ma bouche se repose une fois de plus sur la sienne
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MessageSujet: Re: Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT]   Quand on veux s'évader le surnaturel reviens au galop (Alice & Damon) [HOT] Icon_minitimeMar 28 Mai - 22:46

    -Je sais !

    Il me rendait dingue, attirant, hypnotisant … Je ne pouvais faire ça depuis ma rencontre récente avec cet humain mais d’un autre côté, je n’avais compte à rendre à personne. Il s’était approché de moi avec une douceur feinte et s’était attaqué à mes sens en commençant par un baiser innocent sur ma joue. Je ressentais d’intenses frissons à chaque moi que sa peau frôlait la mienne et que ses lèvres bougeait sur mon corps. Sa main sur ma hanche n’arrangeait rien et ce fut en cet instant que je décidais de perdre ce combat et de me laisser aller. Je plaquais mon corps tant bien que mal contre le sien, transformant notre étreinte en un feu ardant. Il m’avait soulevé et j’avais enroulé mes jambes autour de son bassin, agrippant de mes doigts fins les muscles de son dos. Je dégageais mon cou pour qu’il puisse s’y amusé plus intensément. Les yeux clos, j’absorbais les décharges hormonales qui coulaient dans mes veines au fur et à mesure. J’avais voulu lui résisté mais, au final, ça ne servait à rien. C’était un originel, un Salvatore, un bellâtre, un amant qui à coup sûr saurait parfaitement quoi faire. Alors, je m’en fichais. Je plantais mes ongles dans sa chair puis vins embrasser le haut de son crâne, descendant vers son front, son nez, ses pommettes, récupérant ses lèvres que je mordillais avec avidité. Il me voulait, il allait m’avoir et pas à moitié. Je ramenais mes mains sur son torse et commençais à lui ôter sa veste de costume. Adieu bienséance, maintenant je me muais en une créature avide, à la recherche du contacte de sa peau contre le mienne. J’aurais pu trépasser tant mon envie grandissait. C’était bizarre comme sensation. Tantôt je voulais le tuer à moitié pour avoir osé penser que c’était possible avec moi et maintenant, je me jetais à son cou sans retenue. J’encerclais ses cervicales de mes doigts pour coller ses lèvres avec un peu plus de forces aux miennes. Mais très vite ma dualité reprit le dessus et je le repoussais aussi violemment que possible ce qui eut pour résultat de me remettre d’aplomb sur mes deux jambes.

    -Tu me fais un effet plutôt étonnant Salvatore ! Mais tu n’as pas de chance j’aime avoir le pouvoir.

    Alliant les gestes à al paroles j’approchais une chaise de la terrasse vers lui et l’y fit asseoir non une certaine dureté dans le regard. Je savais qu’il pouvait avoir le dessus sur moi à n’importe quel moment mais vu ce que je prévoyais, je savais aussi qu’il ne ferait rien, qu’il attendrait de voir ce que j’avais dans le ventre. Je m’étais contentée de pâles humains pendant plus d’un siècle, il était grand temps que j’ai ce dont j’avais réellement besoin, un mâle, un vrai : un vampire. Une fois qu’il eut pris sa place je me jetais sur lui sans aucune gêne. A califourchon au-dessus de lui, je dégrafais ses boutons de chemise avec une dextérité qui m’était réellement propre. Une fois la chose faite, j’écartais le tissu de sa chemise et me jetais sur sa peau. Il sentait bon pour un vampire, très bon même et avait un corps superbe. C’était plaisant. J’embrassais la base de son cou, mordillait la peau autour de ses clavicules, léchais de petite parcelles de peau allant vers ses tétons et une fois arrivé à ce que je cherchais, je les pinçais entre mes lèvres. Je goutais sa chair avec une avidité non feinte. Je suçotais, mordillais ses petits bouts. En cet instant, il aurait pu croire que je l’aimais mais ce n’était qu’une pulsion sexuelle de premier ordre. Mes mains quant à elles s’affairaient sur sa taille et en malaxais la chair avec sensualité mais l’une d’entre elle descendit doucement jusqu’à la bordure de son pantalon où elle commença à jouait. Je me reculais doucement…

    -J’espère que ça te plait Salvatore !

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